Qu’on se le dise : en 2011, une partie de l’Europe semble avoir décidé que, pour nous faire la meilleure des soupes, il fallait encore mieux nous ressortir les bons vieux pots, et il y a comme un air pas déplaisant de retour aux valeurs sures qui flotte dans l’air! Cette année verra en effet le retour de Lena, qui vient présenter l’Allemagne pour la deuxième année consécutive, et celui de l’islandaise Johanna (arrivée 2e en 2009 avec sa ballade des dauphins), qui re-tente sa présélection nationale. Mais la grosse cerise dorée sur le gâteau du come-back nous vient de latitudes plus clémentes, puisque 2011 devrait voir le retour d’une des plus grandes divas de l’Eurovision, l’une des rares candidates dont il n’est pas exagéré de dire qu’elle a contribué à changer la face du concours…
Dana International !
Et oui, vous vous demandiez sans doute régulièrement, ces dernières années, lors des grands événements géopolitiques ou lorsque vous choisissiez vos vêtements le matin : « tiens, je me demande ce que Dana international est en train de faire, là ? ». Eh bien toutes vos questions vont enfin trouver leurs réponses au mois de mai. Rappelons qu’à l’époque, l’Eurovision était dans une phase très critique de ringardise musicale absolue, et 98 représentait un peu la quintessence de la soupe musicale tiédasse. Dana et ses plumes de luxe (très Black Swan) seule bonne candidate cette année là, avait donné un sacré coup de pub et de lustre au concours, avant même son inévitable victoire. Depuis, le concours a (évidemment et heureusement) largement évolué, musicalement comme visuellement, et on attend impatiemment de voir comment la reine israélienne va mettre en scène son grand retour scénique.
Mais le retour aux années dance ne s’arrête pas là, puisqu’une autre star de l’époque viendra faire sa première apparition fort attendue dans le concours. Cela fait en effet des années que la rumeur voudrait qu'un des grands groupes des années 90 viennent enfin représenter leur Suède natale, et bien c’est presque chose faite ! Il s'agit bien évidemment de...
Et oui, vous vous demandiez sans doute régulièrement, ces dernières années, lors des grands événements géopolitiques ou lorsque vous choisissiez vos vêtements le matin : « tiens, je me demande ce que Dana international est en train de faire, là ? ». Eh bien toutes vos questions vont enfin trouver leurs réponses au mois de mai. Rappelons qu’à l’époque, l’Eurovision était dans une phase très critique de ringardise musicale absolue, et 98 représentait un peu la quintessence de la soupe musicale tiédasse. Dana et ses plumes de luxe (très Black Swan) seule bonne candidate cette année là, avait donné un sacré coup de pub et de lustre au concours, avant même son inévitable victoire. Depuis, le concours a (évidemment et heureusement) largement évolué, musicalement comme visuellement, et on attend impatiemment de voir comment la reine israélienne va mettre en scène son grand retour scénique.
Mais le retour aux années dance ne s’arrête pas là, puisqu’une autre star de l’époque viendra faire sa première apparition fort attendue dans le concours. Cela fait en effet des années que la rumeur voudrait qu'un des grands groupes des années 90 viennent enfin représenter leur Suède natale, et bien c’est presque chose faite ! Il s'agit bien évidemment de...
Alors ne vous emballez, pas, relisez la phrase précédente et notez que "presque" est le mot clé, parce qu'il ne s'agira pas du groupe en entier mais "juste" de Jenny Berggren (la brune). L’autre chanteuse, étant encore toute traumatisée, comme le prouve cette photo où elle préfère restée cachée. Jenny, elle rayonne déjà au premier plan comme si elle avait prévu son coup. Et ce serait bien son genre, car la petite a déjà toute une stratégie de prévue pour cette année. Bien qu’elle se soit assurée les services des meilleurs compositeurs de schlager (suédois, donc, forcément), elle se présente non pas sous le drapeau suédois, où la concurrence est très rude, mais sous celui beaucoup plus paisible du Danemark. Bon, la présélection n’a pas encore eu lieu, et en théorie elle peut perdre, mais la recette secrète des tubes locomotives schlager n'ayant pas encore passé la frontière Danoise, elle devrait avoir de quoi s'y faire remarquer.
Jamais deux sans trois, évidemment, et le Royaume-Uni n'est pas en reste niveau come-back. A la différence près qu'ils ont apparemment décidé cette année de ne pas gagner. Et même de ne pas avoir l’air crédible du tout, puisqu’ils envoient… Blue, boys-band oublié, surtout connus chez nous pour leurs duos avec Elton John ou Link’up.
Jamais deux sans trois, évidemment, et le Royaume-Uni n'est pas en reste niveau come-back. A la différence près qu'ils ont apparemment décidé cette année de ne pas gagner. Et même de ne pas avoir l’air crédible du tout, puisqu’ils envoient… Blue, boys-band oublié, surtout connus chez nous pour leurs duos avec Elton John ou Link’up.
Voilà, tous ces noms nous rappellent les jours heureux de Charly et Lulu, et on se surprend à rêver qu'Ophélie Winter vienne représenter l'Andorre avec une perruque de Paradiso et une chorégraphie de Lou Bega. Allez, on y croit fort!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire